L’association « Le cheval avec vous » est née d’une idée, d’un rêve de notre famille : Eric mon mari, décédé brutalement en 2016, moi même, Sophie Puech, et notre fille Lila 22 ans aujourd’hui.
C’est une association loi 1901, à but non lucratif, avec une volonté sociale. Créée avec ma fille et mon mari, son but est l’apprentissage accompagné par le cheval pour toute personne sans l’angle de la qualité de communication et qualité relationnelle (communication non violente).
Pourquoi trois axes d’activités ? à cause du travail « terrain », en situation, sur le savoir être :
- Le coaching et développement personnel – mieux se connaitre
- Le management – leadership naturel en vue de la coopération
- Les équipes – montée en cohésion
- Les cavaliers et leurs chevaux – qualité relationnelle et performance
Le respect du cheval passe par la connaissance de sa nature, son intégrité mentale et physique, dans sa relation à l’homme.
« Les chevaux ne font pas toujours ce que l’on veut mais toujours ce qu’on leur demande… »
Les valeurs qui président au respect du cheval amènent au respect de l’humain : c’est ce que nous a appris la première rencontre en 2006 avec Guillaume Antoine, et sa vision très humaniste de la pratique de l’équitation.
La seconde rencontre en 2009 c’est bien sûr celle de Philippe KARL, enseignant merveilleux et cavalier hors pair, tout en finesse.
Ces valeurs de savoir être nous amènent au croisement du coaching et du cheval : laisser faire, lâcher prise, agir avec assertivité, être conscient dans l’instant présent et prendre le temps qu’il faut – kaïros et non plus kronos…
Cet état d’esprit nous amène à disposer de zones de communication communes avec le cheval, avec des bénéfices au service du cheval, bien sûr, mais aussi de la personne, des équipes, des entreprises et des cavaliers.
« Tu me dis, j’oublie. Tu m’enseignes, je me souviens. Tu m’impliques, j’apprends. » Benjamin Franklin
« J’en suis arrivé à croire que les seules connaissances qui peuvent influencer le comportement d’un individu sont celles qu’il découvre par lui-même et qu’il s’approprie » Carl Rogers